On va croire que je fais une fixation sur "Take five". Ce n'est pas du tout le cas, par contre je fais une fixation sur ce type de jeu de guitare, qui pour moi, curieusement est aussi lié à l'été. C'est pourquoi je choisis cette vidéo au moment de partir en vacances (en l'occurence : vacances d'internet). Rendez-vous le 3 août pour une petite contribution au Z-Band...
mardi 22 juillet 2008
samedi 19 juillet 2008
J'ai rencontré Lenine
C'était en 1999, chez mon disquaire préféré, et c'est le dernier vrai choc que j'ai eu pour un artiste de pop-rock, brésilien ou pas !
L'album, "Na Pressao" est un chef d'oeuvre d'influences subtilement mélangées, il est unique en son genre, avec cette guitare qui ressort sur des boites à rythmes (moi qui n'ai jamais aimé ça !), ce mix intelligent de samba, de rap et de techno. 9 ans plus tard j'écoute toujours aussi souvent ce disque, qui figurerait en bonne position dans ma discothèque idéale, si j'avais le courage d'en publier une...
Voici "Jack Soul Brasileiro", le premier titre de l'album, celui qui m'a accroché pour ne pas me lacher :
L'album, "Na Pressao" est un chef d'oeuvre d'influences subtilement mélangées, il est unique en son genre, avec cette guitare qui ressort sur des boites à rythmes (moi qui n'ai jamais aimé ça !), ce mix intelligent de samba, de rap et de techno. 9 ans plus tard j'écoute toujours aussi souvent ce disque, qui figurerait en bonne position dans ma discothèque idéale, si j'avais le courage d'en publier une...
Voici "Jack Soul Brasileiro", le premier titre de l'album, celui qui m'a accroché pour ne pas me lacher :
jeudi 17 juillet 2008
L'Afrique, c'est chic !
Ecouter Olatunji c'est bien, le voir c'est encore mieux. Le voici au djembe, avec un air de pharaon... je vous dis pas !
lundi 14 juillet 2008
Africa
J'ai découvert le percussionniste africain Babatunde Olatunji un peu par hasard, en fouinant à partir du titre du dernier concert de Coltrane, "The Olatunji concert", ainsi nommé parce qu'il s'est tenu au Olatunji Center for African Culture à Harlem, un centre fondé avec l'aide de Trane. Il faut dire que Olatunji avait noué de solides liens d'amitié avec Trane et que celui-ci s'est beaucoup inspiré de lui.
Olatunji, né au lagos, est arrivé aux Etats-Unis en 1950, à l'origine pour étudier la médecine et s'est finalement orienté vers la musique et l'enseignement des percussions. En 1959, son premier disque, "Drums of passion" est le point de départ de l'intérêt pour la musique africaine aux States, grâce à Coltrane qui était alors en contrat chez Columbia et qui a su faire jouer son influence de Star naissante pour ouvrir les portes de la prestigieuse maison de disques à son ami Babatunde.
Avec le succès sont venues les collaborations avec des artistes de jazz comme Cannonball Adderley, Horace Silver, Randy Weston, Abbey Lincoln et Max Roach... bref, tous ceux qui s'intéressaient de près ou de loin aux racines africaines du jazz.
Le titre que je mets en écoute est un tube mais ce n'est pas Olatunji qui en a fait un tube... c'est Santana, qui a repris le morceau sur son premier album en 1969, soit 10 ans après la version d'origne, que voici, que voilà : "Jin-go-lo-ba".
Olatunji, né au lagos, est arrivé aux Etats-Unis en 1950, à l'origine pour étudier la médecine et s'est finalement orienté vers la musique et l'enseignement des percussions. En 1959, son premier disque, "Drums of passion" est le point de départ de l'intérêt pour la musique africaine aux States, grâce à Coltrane qui était alors en contrat chez Columbia et qui a su faire jouer son influence de Star naissante pour ouvrir les portes de la prestigieuse maison de disques à son ami Babatunde.
Avec le succès sont venues les collaborations avec des artistes de jazz comme Cannonball Adderley, Horace Silver, Randy Weston, Abbey Lincoln et Max Roach... bref, tous ceux qui s'intéressaient de près ou de loin aux racines africaines du jazz.
Le titre que je mets en écoute est un tube mais ce n'est pas Olatunji qui en a fait un tube... c'est Santana, qui a repris le morceau sur son premier album en 1969, soit 10 ans après la version d'origne, que voici, que voilà : "Jin-go-lo-ba".
mardi 1 juillet 2008
Prenez cinq minutes avec Al Jarreau
Pour Anne J, la plus fabuleuse des interprétations de "Take five" par Al jarreau (en 1975) :
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